Le Pr. Georges Mathé confirmait à L’Express : « Si j’avais une tumeur, je n’irais pas dans un centre anticancéreux »
le Pr Henri Joyeux, cancérologue à Montpellier, a déclaré à maintes reprises que « ce sont des intérêts financiers gigantesques qui permettent d’expliquer que la vérité scientifique soit encore aujourd’hui trop souvent occultée : « 85 % des chimiothérapies sont contestables, voire inutiles « .
Cet article a été écrit par Sylvie Simon, écrivain et journaliste rigoureuse et courageuse. Elle s’est éteinte le vendredi 8 novembre à l’âge de 86 ans. Depuis quelques années, elle combat les idées reçues en explorant divers domaines de la science, et consacre la plus grande partie de son activité à militer contre la désinformation en matière de santé et d’écologie, sujets de brûlante actualité.
Elle a déjà publié plusieurs essais sur des scandales (sang contaminé, vaches folles, amiante, hormones de croissance, vaccins, etc.).
A travers de nombreuses conférences, en France et à l’étranger, elle souhaite réveiller la conscience endormie par le matraquage médiatique, et nous invite à réfléchir, à être responsables de nos décisions en parfaite connaissance de cause, et à réviser entièrement nos valeurs et notre système de penser… »
“Cela fait des années que la chimiothérapie est dénigrée par de très nombreux cancérologues, français et américains et non des moindres, ont osé exprimer leur doute quant aux guérisons obtenues par les voies classiques.
Hardin B Jones, alors professeur de Physique médicale et de Physiologie à Berkeley, avait déjà communiqué en 1956 à la presse les résultats alarmants d’une étude sur le cancer qu’il venait de mener durant vingt-trois ans auprès de cancéreux et qui l’avait conduit à conclure que les patients non traités ne mourraient guère plus vite que ceux qui recevaient la chimiothérapie, bien au contraire.
« Les patients qui ont refusé tout traitement ont vécu en moyenne douze ans et demi. Ceux qui se sont soumis à l’intervention chirurgicale et aux autres traitements traditionnels ont vécu en moyenne trois ans seulement [1]. » Et le Dr Jones soulevait aussi la question des sommes fabuleuses engendrées par le « CANCER USINESS ».
Les conclusions déstabilisantes du Dr Jones n’ont jamais été réfutées. (Walter Last, The Ecologist, vol. 28, n°2, Mars-avril 1998.)
Le 4 octobre 1985, le Pr. G.eorges Mathé confirmait à L’Express : « Il y a de plus en plus de cancers parce que le dépistage est beaucoup plus précoce, mais on ne les maîtrise pas aussi bien qu’on le dit, malgré la chimiothérapie qui est surtout prônée par les chimiothérapeutes et par les laboratoires [ce qu’il appelait la « cancer-connection »], et pour cause : ils en vivent. Si j’avais une tumeur, je n’irais pas dans un centre anticancéreux » (cf. Le Monde, 4 mai 1988).
À son tour, le Dr Martin Shapiro écrivait dans un article « Chimiothérapie : Huile de perlimpinpin ? » :
« Certains cancérologues informent leurs patients du manque d’évidence que ce traitement soit utile, d’autres sont sans doute égarés par l’optimisme des parutions scientifiques sur la chimiothérapie. D’autres encore répondent à une stimulation économique. Les praticiens peuvent gagner davantage en pratiquant la chimiothérapie qu’en prodiguant consolation et apaisement aux patients mourants et à leurs familles. » (cf. Los Angeles Times, 1er septembre 1987).
Cet avis est largement partagé par les docteurs E. Pommateau et M. d’Argent qui estiment que la chimiothérapie « n’est qu’un procédé de destruction de cellules malignes comme la chirurgie ou la radiothérapie. Elle ne résout pas le problème capital des réactions de l’hôte qui devrait être, en dernier ressort, les seules à rechercher pour arrêter la poussée cancéreuse » (Leçons de cancérologie pratique).
Pour sa part, le Pr Henri Joyeux, cancérologue à Montpellier, a déclaré à maintes reprises que « ce sont des intérêts financiers gigantesques qui permettent d’expliquer que la vérité scientifique soit encore aujourd’hui trop souvent occultée : 85 % des chimiothérapies sont contestables, voire inutiles ».
Et pour la progression des cas de guérisons, le Dr Jean-Claude Salomon, directeur de recherche au CNRS, cancérologue, estime que le pourcentage de survie à cinq ans après le diagnostic initial s’est accru pour la seule raison que l’on sait faire des diagnostics plus précoces, mais que s’il n’est pas accompagné d’une baisse de la mortalité, l’augmentation du pourcentage de survie à cinq ans n’est pas un indice de progrès.
« Le diagnostic précoce n’a souvent pour effet que d’allonger la durée de la maladie avec son cortège d’angoisse.
Cela contredit bien des affirmations concernant les prétendues avancées thérapeutiques. » (cf. Qui décide de notre santé. Le citoyen face aux experts, Bernard Cassou et Michel Schiff, 1998)
Le Dr Salomon précise qu’on comptabilise sans distinction les vrais cancers et des tumeurs qui n’auraient sans doute jamais provoqué de maladie cancéreuse, ce qui contribue à augmenter artificiellement le pourcentage des cancers « guéris ». Cela augmente aussi, évidemment, celui des cancers « déclarés ». Encore un fait confirmé par le Dr Thomas Dao, qui fut directeur du département de chirurgie mammaire au Roswell Park Cancer Institute de Buffalo de 1957 à 1988 : « Malgré l’usage répandu de la chimiothérapie, le taux de mortalité par cancer du sein n’a pas changé ces 70 dernières années. »
Ainsi que par John Cairns, Professeur de microbiologie à l’université d’Harvard, qui a publié en 1985, une critique dans le Scientific American : « À part quelques rares cancers, il est impossible de déceler une quelconque amélioration par la chimiothérapie dans la mortalité des cancers les plus importants. Il n’a jamais été établi que n’importe quel cancer peut être guéri par la chimiothérapie. »
Nouvelle confirmation du Dr Albert Braverman, hématologue et cancérologue New Yorkais, dans le LANCET : « De nombreux cancérologues recommandent la chimiothérapie pour pratiquement toutes les tumeurs, avec un optimisme non découragé par un échec quasi immanquable […] aucun néoplasme disséminé, incurable en 1975, n’est guérissable aujourd’hui. » (cf. La Cancérologie dans les années 1990, vol. 337, 1991, p.901).
Quant au Dr Charles Moertal, cancérologue de la Mayo Clinic, il admet que : « Nos protocoles les plus efficaces sont pleins de risques et d’effets secondaires ; et après que tous les patients que nous avons traités aient payé ce prix, seule une petite fraction est récompensée par une période transitoire de régression incomplète de la tumeur. »
Alan Nixon, ancien Président de l’American Chemical Society, est encore plus radical : « En tant que chimiste, entraîné à interpréter des publications, il m’est difficile de comprendre comment les médecins peuvent ignorer l’évidence que la chimiothérapie fait beaucoup, beaucoup plus de mal que de bien. »
Ralph Moss est un scientifique non médecin qui étudie le cancer depuis des lustres. Il écrit des articles sur le sujet dans de prestigieux journaux, tels que le Lancet, le Journal of the National Cancer Institute, le Journal of the American Medical Association, le New Scientist, et a publié un ouvrage:
« The Cancer Industry » [2] : « Finalement, il n’existe aucune preuve que la chimiothérapie prolonge la vie dans la majorité des cas, et c’est un grand mensonge d’affirmer qu’il existe une corrélation entre la diminution d’une tumeur et l’allongement de la vie du patient. » Il avoue qu’il croyait autrefois en la chimiothérapie, mais que l’expérience lui a démontré son erreur : « Le traitement conventionnel du cancer est tellement toxique et inhumain que je le crains davantage que mourir d’un cancer. Nous savons que cette thérapie ne marche pas — si elle marchait vous ne craindriez pas davantage le cancer qu’une pneumonie. […]
Cependant, la plupart des traitements alternatifs, quelles que soient les preuves de leur efficacité, sont interdits, ce qui oblige les patients à se diriger vers l’échec car il n’ont pas d’alternative. Le Dr Maurice Fox, professeur émérite de biologie au MIT (Massachusetts Institute of Technology) [3] a constaté, comme nombre de ses pairs, que les cancéreux qui refusaient les soins médicaux avaient un taux de mortalité inférieur à ceux qui les acceptaient.
Le Centre du Cancer de l’université McGill au Canada a envoyé un questionnaire à 118 médecins spécialisés dans le cancer des poumons afin de déterminer le degré de confiance qu’ils accordaient aux produits que les scientifiques de l’université étaient en train d’évaluer. On leur demandait d’imaginer qu’ils avaient un cancer et de dire quel médicament ils choisiraient parmi six autres en cours d’essais.
Il y eut 79 réponses des médecins, parmi lesquelles 64, soit 81 % n’accepteraient pas de participer aux essais de la chimiothérapie à base de Cisplatine qu’ils étaient en train de tester et 58 autres médecins parmi les mêmes 79, soit 73 %, estimaient que les essais en question étaient inacceptables, étant donne l’inefficacité des produits et leur degré élevé de toxicité [4].
De son côté, le Dr Ulrich Abel, épidémiologiste allemand du Centre du cancer de Heidelberg-Mannheim, a passé en revue tous les documents publiés sur la chimiothérapie par plus de 350 centres médicaux à travers le monde.
Après avoir analysé, pendant plusieurs années, des milliers de publications, il a découvert que le taux global de réussite de la chimiothérapie à travers le monde était « lamentable », seulement 3 %, et qu’il n’existe tout simplement aucune preuve scientifique indiquant que la chimiothérapie pouvait « prolonger de façon sensible la vie de patients souffrant des cancers organiques les plus courants ».
Il qualifie la chimiothérapie de « terrain vague scientifique » et affirme qu’au moins 80 % de la chimiothérapie administrée à travers le monde est inutile et s’apparente aux « habits neufs de l’empereur », alors que ni le docteur ni le patient ne souhaitent renoncer à la chimiothérapie. Le Dr Abel a conclu : « Nombre de cancérologues tiennent pour acquis que la chimiothérapie prolonge la vie des patients. C’est une opinion fondée sur une illusion qui n’est étayée par aucune des études cliniques [5] ». Cette étude n’a jamais été commentée par les grands médias et a été entièrement enterrée. On comprend pourquoi.
En résumé, la chimiothérapie est elle très toxique et ne peut faire la différence entre les cellules saines et les cellules cancéreuses. Elle détruit peu à peu le système immunitaire qui ne peut plus protéger le corps humain des maladies ordinaires. Quelque 67 % des gens qui meurent pendant le traitement de leur cancer le doivent à des infections opportunistes qui n’ont pas été combattues par le système immunitaire.
L’étude la plus récente et significative a été publiée par le journal Clinical Oncology [6] et menée par trois fameux oncologues australiens, le Pr Graeme Morgan du Royal North Shore Hospital de Sydney, le Pr Robyn Ward [7] de l’Université de New South Wales-St. Vincent’s Hospital et le Dr Michael Barton, membre de la Collaboration for Cancer Outcomes Research and Evaluation du Liverpool Health Service à Sydney.
Leur travail minutieux est basé sur l’analyse des résultats de toutes les études contrôlées en double aveugle menées en Australie et aux États-Unis, concernant la survie de 5 ans mise au crédit de la chimiothérapie chez les adultes durant la période de janvier 1990 à janvier 2004, soit un total de 72 964 patients en Australie et de 154 971 aux États-Unis, tous traités par chimiothérapie. Cette vaste étude démontre qu’on ne peut plus prétendre, comme de coutume, qu’il ne s’agit que de quelques patients, ce qui permet aux systèmes en place de les balayer avec mépris du revers de la main. Les auteurs ont délibérément opté pour une estimation optimiste des bénéfices, mais malgré cette précaution, leur publication prouve que la chimiothérapie ne contribue qu’à un peu plus de 2 % à la survie des patients après 5 ans, soit 2,3 % en Australie, et 2,1 % aux États-Unis. « Certains praticiens restent pourtant optimistes et espèrent que la chimiothérapie cytotoxique [8] prolongera la vie des cancéreux », ont déclaré les auteurs dans leur introduction. Ils demandent à juste raison, comment il se fait qu’une thérapie qui a si peu contribué à la survie des patients au cours des 20 dernières années, continue à obtenir un tel succès dans les statistiques des ventes. Il est vrai qu’on peut leur répondre que les patients peu curieux ou simplement affolés n’ont aucun choix : on ne leur propose rien d’autre.
Massoud Mirshahi, chercheur à l’université Pierre et Marie Curie et son équipe ont découvert en 2009 que de nouvelles cellules du micro-environnement tumoral seraient impliquées dans la résistance à la chimiothérapie des cellules cancéreuses et les récidives avec l’apparition de métastases. Ces cellules ont été appelées « Hospicells », car elles servent de niches qui ont la propriété de fixer un grand nombre de cellules cancéreuses et de les protéger de l’action de la chimiothérapie.
Les « Hospicells » proviennent de la différenciation des cellules souches de moelle osseuse, et sont présentes dans les épanchements chez les malades atteints de cancers (liquide d’ascite, épanchements pleuraux). Les cellules cancéreuses, agglutinées autour d’une « Hospicell », forment de véritables petits nodules cancéreux. Dans ces nodules ont été également identifiées des cellules immuno-inflammatoire.
La microscopie électronique a démontré qu’il y avait des zones de fusion entre les membranes des « Hospicells » et celles des cellules cancéreuses, permettant le passage de matériel d’une cellule à l’autre.
De plus, les chercheurs ont observé le transfert de matériel membranaire de l’« Hospicell » vers les cellules cancéreuses, phénomène appelé trogocytose. Plusieurs autres mécanismes, comme le recrutement des cellules immunitaires suppressives ou la sécrétion de facteurs solubles par les « Hospicells » aident aussi à la résistance des cellules cancéreuse contre la chimiothérapie.
Compte-tenu de cette importance, il est suggéré que les cellules cancéreuses « nichées » sur une « Hospicell » pourraient être considérées comme responsables de la maladie résiduelle. Pour la recherche, il importe donc de trouver des drogues susceptibles à la fois de détruire les cellules cancéreuses et les « Hospicells »[9].
L’étude la plus significative a été publiée par le journal Clinical Oncology[10] et menée par trois fameux oncologues australiens, le Pr Graeme Morgan du Royal North Shore Hospital de Sydney, le Pr Robyn Ward[11] de l’Université de New South Wales-St. Vincent’s Hospital et le Dr Michael Barton, membre de la Collaboration for Cancer Outcomes Research and Evaluation du Liverpool Health Service à Sydney.
D’autres études ont paru dernièrement : La première, publiée dans la revue Nature, indique qu’une grande majorité des études sur le cancer sont inexactes et potentiellement frauduleuses. Les chercheurs n’arrivent que rarement à répliquer les résultats des grandes études « de référence ». Parmi 53 études importantes sur le cancer, pourtant publiées dans des revues scientifiques de haut niveau, 47 n’ont jamais pu être reproduites avec des résultats semblables.
Ce n’est pas une nouveauté d’ailleurs, puisque, en 2009, des chercheurs de l’University of Michigan’s Comprehensive Cancer Center avaient également publié des conclusions de célèbres études sur le cancer, toutes biaisées en faveur de l’industrie pharmaceutique.
Et il reste de notoriété publique que certains médicaments contre le cancer provoquent des métastases. Cette longue liste de publications, toutes négatives et non exhaustives quant aux « bienfaits » de la chimiothérapie, pourraient s’expliquer par les travaux de certains chercheurs de la Harvard Medical School à Boston (USA), qui ont constaté que deux médicaments utilisés en chimiothérapie provoquent le développement de nouvelles tumeurs, et non pas le contraire ! Il s’agit de ces nouveaux médicaments qui bloquent les vaisseaux sanguins qui « nourrissent » la tumeur. Les spécialistes les appellent traitements « anti-angiogénèse ».
Ces médicaments, le Glivec et le Sutent (principes actifs, imatinib et sunitinib), ont un effet démontré pour réduire la taille de la tumeur. Cependant, ils détruisent de petites cellules peu étudiées jusqu’à présent, les péricytes, qui maintiennent sous contrôle la croissance de la tumeur. Libérée des péricytes, la tumeur a beaucoup plus de facilité à s’étendre et à « métastaser » dans d’autres organes. Les chercheurs de Harvard considèrent donc maintenant que, bien que la tumeur principale diminue de volume grâce à ces médicaments, le cancer devient aussi beaucoup plus dangereux pour les patients ! (Cancer Cell, 10 juin 2012).
Le Professeur Raghu Kalluri, qui a publié ces résultats dans la revue Cancer Cell, a déclaré : « Si vous ne prenez en compte que la croissance de la tumeur, les résultats étaient bon. Mais si vous prenez du recul et regardez l’ensemble, inhiber les vaisseaux sanguins de la tumeur ne permet pas de contenir la progression du cancer. En fait, le cancer s’étend. »
Le travail minutieux des trois fameux oncologues australiens (dont l’étude est plus surprenante), est basé sur l’analyse des résultats de toutes les études contrôlées en double aveugle menées en Australie et aux États-Unis, concernant la survie de 5 ans mise au crédit de la chimiothérapie chez les adultes durant la période de janvier 1990 à janvier 2004, soit un total de 72 964 patients en Australie et de 154 971 aux États-Unis, tous traités par chimiothérapie. Cette vaste étude démontre qu’on ne peut plus prétendre, comme de coutume, qu’il ne s’agit que de quelques patients, ce qui permet aux systèmes en place de les balayer avec mépris du revers de la main.
Les auteurs ont délibérément opté pour une estimation optimiste des bénéfices, mais malgré cette précaution, leur publication prouve que la chimiothérapie ne contribue qu’à un peu plus de 2 % à la survie des patients après 5 ans, soit 2,3 % en Australie, et 2,1 % aux États-Unis. Enfin, une étude publiée dans la revue NATURE MEDICINE en 2012, pourrait changer l’idée que l’on se fait de la chimiothérapie.
Les chercheurs du Fred Hutchinson Cancer Research Center de Seattle auraient en effet découvert que celle-ci déclencherait chez des cellules saines la production d’une protéine alimentant les tumeurs. Alors que des chercheurs travaillaient sur la résistance à la chimiothérapie dans des cas de cancers métastasés du sein, de la prostate, du poumon et du colon, ils ont découvert par hasard que la chimiothérapie, non seulement ne guérit pas le cancer, mais active plutôt la croissance et l’étendue des cellules cancéreuses.
La chimiothérapie, méthode standard de traitement du cancer aujourd’hui, oblige les cellules saines à libérer une protéine qui en réalité alimente les cellules cancéreuses et les fait prospérer et proliférer. Selon l’étude, la chimiothérapie induit la libération dans les cellules saines d’une protéine, WNT16B, qui aide à promouvoir la survie et la croissance des cellules cancéreuses.
La chimiothérapie endommage aussi définitivement l’ADN des cellules saines, préjudice à long terme qui persiste longtemps après la fin du traitement par chimio.
« Quand la protéine WNT16B est sécrétée, elle interagirait avec les cellules cancéreuses proches et les ferait grossir, se répandre et le plus important, résister à une thérapie ultérieure, » a expliqué le co-auteur de l’étude Peter Nelson du Centre de Recherche Fred Hutchinson sur le cancer à Seattle, concernant cette découverte totalement inattendue.
« Nos résultats indiquent que dans les cellules bénignes les réponses en retour peuvent contribuer directement à une dynamique de grossissement de la tumeur, » a ajouté l’équipe au complet selon ce qu’elle a observé.
Ce qui revient à dire : Éviter la chimiothérapie augmente les chances de recouvrer la santé. Comment se fait-il qu’une thérapie qui a si peu contribué à la survie des patients au cours des 20 dernières années continue à obtenir un tel succès dans les statistiques des ventes. Il est vrai que les patients peu curieux ou simplement affolés n’ont aucun choix : on ne leur propose rien d’autre que « le protocole ».
À quelle pression le cancérologue actuel est-il soumis pour choisir le traitement du patient ? Jadis, le bon médecin choisissait en son âme et conscience, selon le serment d’Hippocrate, le meilleur traitement pour son patient. Il engageait ainsi sa responsabilité personnelle après un entretien prolongé avec son malade. « Depuis les années 1990 — et singulièrement de façon de plus en plus autoritaire depuis le plan cancer de 2004 — la liberté de soigner du cancérologue a disparu en France et dans certains pays occidentaux.
Au prétexte fallacieux de la qualité des soins, tous les dossiers de patients sont “discutés” en réunion multidisciplinaire où, de fait, l’essai thérapeutique en cours testant les drogues nouvelles est imposé par la “communauté”. Le praticien qui souhaite déroger à ce système doit s’expliquer et encourt tous les ennuis possibles, en particulier celui de voir le service auquel il participe perdre son autorisation de pratiquer la cancérologie. »
Le Dr Nicole Delépine résume ainsi ce qui peut arriver quand on s’éloigne des stricts protocoles pour les adapter à la situation personnelle des malades. Seuls, 3 médecins sur 4 osent refuser la chimio pour eux-mêmes, en cas de cancer, en raison de son inefficacité sur la maladie et de ses effets dévastateurs sur la totalité de l’organisme humain. Mais ce détail est bien caché aux malades.
Le Docteur Jacques Lacaze, diplômé de cancérologie et ardent défenseur des travaux du Dr Gernez sur le sujet, estime que la seule vraie solution est la prévention: « En effet, un cancer a une vie cachée de 8 ans en moyenne. Durant cette longue période, l’embryon de cancer est très vulnérable, un rien peut le faire capoter.
Tous les spécialistes admettent cette réalité, mais très peu d’entre eux préconisent une politique de prévention. Pourtant, elle est facile à mettre en œuvre. Nous savons que la courbe d’incidence du cancer démarre vers 40 ans, donc qu’un futur cancer s’installe vers 32 ans.
L’étude SUVIMAX a montré qu’une simple complémentation en vitamines et sels minéraux suffisait à faire baisser cette incidence de cancers d’environ 30 %. Cette étude a duré 8 ans. Aucune conséquence en politique de santé publique n’en a été tirée. Bien entendu, l’industrie pharmaceutique ne veut pas en entendre parler : on ne scie pas la branche sur laquelle on est assis.
Le corps médical est sous la coupe des “grands patrons” qui font la pluie et le beau temps et qui sont grassement rémunérés par cette industrie (cherchez sur internet, vous verrez que la plupart de ces grands patrons émargent d’une façon ou d’une autre à un laboratoire). Et la majorité des médecins de base suivent sans broncher ! Et malheur à ceux qui pensent le contraire et qui contestent chimiothérapie ou vaccins ou antibiothérapie. […] Je dois ajouter, car cela correspond à ma pratique et à des études réelles faites par quelques services spécialisés, de nombreux produits qualifiés de complémentaires ou alternatifs sont efficaces, mais interdits et pourchassés par les autorités aux ordres de l’industrie pharmaceutique. »
Pour en savoir plus, sur la prévention des cancers, vous pouvez consulter le site gernez.asso.fr
Il ne faut pas oublier dans cette affaire que seule la pression des personnes concernées, c’est à dire nous tous, fera plier ce système.
[1] Transactions of the N.Y. Academy of Medical Sciences, vol 6, 1956.
[2] Equinox Press, 1996.
[3] Membre de la National Academy of Sciences, de l’Institute of Medicine et de l’American Academy of Arts and Sciences.
[4] Cité par le Dr Allen Levin, dans son ouvrage The Healing of Cancer.
[5] Abel U. « Chemotherapy of advanced epithelial cancer, a critical review ». Biomed Pharmacother. 1992 ; 46(10) : (439-52).
[6] « The Contribution of Cytotoxic Chemotherapy to 5-year Survival in Adult Malignancies », Clin Oncol (R Coll Radiol). 2005 Jun ; 17(4) : 294.
[7] Le Pr Ward fait également partie du département du ministère de la Santé qui conseille le gouvernement australien sur l’effet des médicaments autorisés, semblable à la Food and Drug Administration américaine.
[8] Propriété qu’a un agent chimique ou biologique d’altérer et éventuellement détruire des cellules.
[9] Oncologic trogocytosis of an original stromal cells induces chemoresistance of ovarian tumours. Rafii A, Mirshahi P, Poupot M, Faussat AM, Simon A, Ducros E, Mery E, Couderc B, Lis R, Capdet J, Bergalet J, Querleu D, Dagonnet F, Fournié JJ, Marie JP, Pujade-Lauraine E, Favre G, Soria J, Mirshahi M.
[10] « The Contribution of Cytotoxic Chemotherapy to 5-year Survival in Adult Malignancies », Clin Oncol (R Coll Radiol). 2005 Jun ; 17(4) : 294.
[11] Le Pr Ward fait également partie du département du ministère de la Santé qui conseille le gouvernement australien sur l’effet des médicaments autorisés, semblable à la Food and Drug Administration américaine.
[12] « The Contribution of Cytotoxic Chemotherapy to 5-year Survival in Adult Malignancies », Clin Oncol (R Coll Radiol). 2005 Jun ; 17(4) : 294.
[13] Le Pr Ward fait également partie du département du ministère de la Santé qui conseille le gouvernement australien sur l’effet des médicaments autorisés, semblable à la Food and Drug Administration américaine.
Sylvie Simon Mediapart.fr
Bonjour,
Mon papa est traité depuis 3 ans pour un cancer du poumon, adénocarcinome avec nodule au cerveau traité par radiothérapie, et métastase sur une surrénale… chimio immuno, chimio, tout cela dégénère depuis 6 mois, il a perdu 20 kilos fait une hémorragie digestive, opéré du canal cholédoque… bref le stade est critique Il est shooté à la morphine et d’une humeur exécrable . Il ne mange plus ou une cuillère d’aliment par jour. Il est nourrit par poche la nuit. J’ai entendu parlé de l’artemisia. Que pouvez vous nous recommander ? nous sommes désemparés et tellement impuissant car on subit tous un protocole médical qui semble l achever.’ D’avance merci
article très intéressant bravo !
Article très intéressant, merci beaucoup, pour toute ces infos, heureusement que nous avons les produits naturels, ils ont toujours été là d’ailleurs, mais il nous ont fait oublier!!
Salut
Comment pourrais-je avoir vos produits étant au USA ? Après un frottis ils on découvert des tissus anormaux et m’ on demander une biopsie j’ attend le résultat j’ ai tellement peur que je m’informe déjà quel sont les produits que vous pouvez me conseiller pour Le cancer de l’utérus. Thanks
Bonjour,
Merci pour votre message, pour une rémission naturelle, nous vous conseillons d’associer la feuille de graviola et ou artemisia annua (en teinture mère pour plus d’efficacité), la racine de pissenlit, les noyaux d’abricot amères, du desmodium pour prévenir la destruction du foie par la chimio (mais pas en sirop, il faut consommer le produit naturel, en poudre ou en gélules), de curcuma, de la poudre de maca et la poudre de baobab Baomix ou de la poudre de moringa pour le fer, la vitalité et le système immunitaire.
Tous ces produits sont compatibles avec une chimio.
Pour la guérison complète il faut du temps, la maladie a mit du temps à s’installer, il faut du temps pour qu’elle parte.
En générale un cure doit durer 3 mois, vous pouvez par la suite faire une pause thérapeutique d’une semaine et reprendre.
Mais cela dépend de votre état général.
Nous vous conseillons de respecter les dosages indiqués sur les sachets (dose minimum pour la prévention, dose maximum conseillée pour la guérison).
Avec les produits naturels c’est la régularité qui importe et moins la quantité.
Tous les produits du laboratoire Biologiquement sont compatibles et complémentaires, ils ont aussi été sélectionnés car ils n’ont pas d’interaction et travaillent en synergie avec des traitements chimiques.
Ces produits naturels s’attaquent aussi aux cellules tumorales résistantes à la radiothérapie ou à la chimiothérapie, et protègent de toutes rechutes futur.
Dans le même temps il faut arrêter tout ce qui donne le cancer, le sucre (tout ce qui est sucré à part le miel bio et les fruits), la viande, qui est chargée en hormones, produits chimiques ingéré par l’animal, antibiotiques… et les produits laitiers, qui sont des matières grasses, qui concentrent encore plus tous ces agents cancérigènes.
Mangez un maximum de fruits et légumes crus.
Il faut aussi vous forcer à faire des exercices tous les jours.
Nous livrons aussi nos produits aux États Unis d’Amérique.
Bien à vous
L’équipe du laboratoire Biologiquement.com
Recherchez tous vos chocs émotionnels dans votre passé , puis quand vous les avez identifiés éliminez les en utilisant la méthode EMDR .Ce en plus des plantes .
C’est la méthode Hammer , les résultats sont tout simplement fabuleux … Et vous saurez si le protocole a fonctionné quasi immédiatement , sous 24 heures vous allez ressentir les symptômes des gens qui ont une guérison miraculeuse à Lourdes .
Intenses tremblements , sensation de froid puis sensation de « feu » aux endroits atteints .
Bonne guérison , et prompt rétablissement à vous .
Bonjour
Ayant une douleur lancinante et persistante a l aine droite je désirerais essayer l EMDR pour effacer des mémoires négatives que je soupçonne d être en grande partie responsables de tous ces maux dont nous souffrons ..j aurais besoin d infos concernant l EMDR et de témoignage…
Merci infiniment…
très intéressant. j’ai bien compris que le meilleur moyen est la prévention mais qui est surtout valable pour ceux qui ne l’ont pas eu. pour ceux qui l’ont attrapé, quelle est l’alternative exactement? qu’en est-il de la chirurgie? on accepte l’opération? et les radiothérapie-hormonothérapie? merci de votre retour.
Bonjour,
nous pouvons vous dire par expérience que les gens vivent avec le cancer et décèdent de la chimiothérapie. De plus vous devez faire de la chirurgie simplement si la grosseur gêne un organe dans son fonctionnement normal.
Le cancer est un signal, une réaction d’un déséquilibre dans de votre métabolisme, souvent à cause de déchets qu’il n’arrive pas a évacuer. En adoptant un mode de vie, un régime adéquat et un traitement par les plantes, vous pouvez tout à fait contrôler ce cancer.
Voici les plantes que nous vous conseillons pour le traitement naturel du cancer.
Dans un premier temps nous vous conseillons la poudre de fruit de baobab Baomix pour sa richesse en antioxydant (très riche en vitamine C) et son action sur le système immunitaire (du sang et du côlon). La flore intestinale représente à peu près 1,5 kilograme de votre masse corporelle, c’est donc pratiquement le poids de votre tête, vous comprenez alors que c’est un organe très très important et qu’il faut le chouchouter, et cela la poudre de fruit Baomix sans charge très bien.
Il faut de l’Artemisia annua qui est une plante aromatique qui a été utilisée par la médecine chinoise en tant que puissant remède du paludisme. L’action de cette plante est plus efficace avec un apport naturel de fer, il faut donc l’associer à la poudre de moringa. Une autre plante indispensable c’est la feuille de graviola corossol, qui contiennent de l’acétogénine, un anti cancer puissant. Toutes ces plantes sont très efficaces pour tuer les cellules cancéreuses. En plus de traitement naturel vous pouvez ausi prendre de la racine de pissenlit en gélules et de la bromélaïne.
L’une des particularités des cellules cancéreuses est que leur renouvellement est rapide et qu’elles ont des besoins nutritionnels élevés. Ainsi un apport constant et régulier en nutriments leur permet une croissance optimale. Certains avançant qu’en réduisant l’apport en nutriment (par un jeûne ou une restriction), il est possible de lutter contre le cancer, de renforcer l’efficacité du traitement anti-cancéreux, ou encore d’en limiter les effets secondaires.
Le corps, pour sa survie, est en effet capable de ralentir son métabolisme et de mettre en place des mécanismes biochimiques particuliers, comme l’utilisation des graisses afin de produire de l’énergie, ce qui conduit à un état physiologique dit de « cétose ».
Les animaux jeûnent instinctivement lorsqu’ils sont malades afin de faciliter les mécanismes d’auto-guérirons. De plus, nous autres humains, ressentons souvent une perte d’appétit lorsque nous déclenchons une maladie aiguë, ce qui nous poussent généralement, tous comme les animaux, à jeûner de manière instinctive.
Aussi, le jeûne active un mécanisme de nettoyage et de recyclage cellulaire, appelé autophagie. Il permet en quelque sorte de se débarrasser des structures cellulaires non indispensables ou en mauvaises états, ou encore infectées par des virus ou autres micro organismes, et de les réutiliser à bon escient ou pour aider le corps à éliminer les agents infectieux.
Le jeûne consiste en un arrêt total d’alimentation, avec maintien ou non d’une consommation d’eau.
Le jeûne est sans doute l’une des plus anciennes approches d’autoguérison. Même dans la nature, les animaux cessent instinctivement de manger quand ils sont malades ou blessés. Le jeûne complet consiste à s’abstenir de tout aliment (solide et liquide), à l’exception de l’eau, pendant une période plus ou moins longue dans le but de reposer, détoxiquer et régénérer l’organisme.
Le jeûne réduit considérablement le nombre de globules blancs du sang, cela déclenche la régénération des cellules souches de nouvelles cellules du système immunitaire. Plus important encore, il réduit l’enzyme PKA, qui a été liée au vieillissement, à la progression des tumeurs et au cancer.
De plus le jeûne n’entraîne pas une aggravation de la maladie, mais permet au corps d’avoir une extraordinaire capacité de tolérance à la chimiothérapie.
HIPPOCRATE (4e siècle avant J.C.), « le père de la médecine », AVICENNE, puis GALIEN utilisaient le jeûne pour soigner leurs malades. Hippocrate disait « Plus vous nourrirez un malade, plus vous lui ferez de mal » et « soigner ses petits maux par le jeûne plutôt que de recourir aux médicaments ». Le jeûne a été couramment utilisé jusqu’au Moyen-âge, mais, avec l’avènement de la médecine moderne, il est peu à peu tombé en désuétude.
Cordialement
L’équipe du laboratoire Biologiquement
Salut:
S’il vous plait, est-ce qu’on peut traiter un cancer du sein hormono-sensible par des moyens naturels et comment exactement ? merci infiniment
Bonjour, merci pour votre message, vous trouverez la réponse à cette question, en cliquant sur ce lien:
https://www.baomix.shop/goji-bio/#comment-942143
Biologiquement votre
L’équipe du laboratoire Biologiquement
bonjour, même si j’avais connaissance de la surpercherie médical et des labos pharmaceutique, je reste bleufée sur ces pratiques qui se résume en « crime contre l’humanité » ni plus ni moins. Les médias font bien leur boulot en détournant l’attention du citoyen vers des problèmes mineurs mais qu’ils prennent soins d’amplifier afin que l’on se jettent les uns contre les autres et en attendant ils se remplissent les poches… mais cet argent sale leur apportera t-il le bonheur escompté… j’en doute en attendant …… Merci pour les informations postées qui renforcent ce que nous savons au plus profond de nous. Merci à vous tous.Rachel
Bonsoir
Que pensez vous de l’argile verte prise par voie orale(boire uniquement l’eau dans lequel a stagné de la poudre d’argile verte durant une nuit. Un verre d’eau 1 fois par semaine. Que pensez vous de cette méthode à partir d’argile? Naturelle aussi.
Merci beaucoup pour votre réponse
Cordialement
Chantal
Bonjour,
L’argile est une terre volcanique naturelle utilisée à des fins curatives, c’est une source naturelle de minéraux et d’oligo-éléments (notamment silice, silicates d’aluminium, magnésium, calcium, fer, phosphore, sodium, potassium, cuivre, zinc, sélénium, cobalt, manganèse…) qu’elle renferme dans des proportions variables. L’argile désigne une grande variété de roches argileuses, qui peuvent être de différentes couleurs (verte, rouge, bleue, jaune, grise, blanc, brune, rose…) Sa couleur varie en fonction des oxydes de fer (limonite) qu’elle renferme.
Riche en silice et en minéraux, l’argile verte est le médicament naturel à toujours avoir à la maison. Elle purifie, désinfecte, et soulage certaines douleurs.
Faites des cataplasmes appropriée à base d’argile et de cire d’abeille avec de l’huile d’olive.
Mettez l’argile verte (poudre ou morceaux) dans un bol (verre, terre-cuite ou bois ou à défaut porcelaine – PAS DE MÉTAL OU DE PLASTIQUE). Ajoutez de l’eau pour couvrir l’argile – couvrez le bol avec une plaque en verre, pierre, bois, ou porcelaine. Après 10 minutes, versez l’eau et laissez macérer l’argile pendant 90 à 120 minutes. Si l’argile est trop liquide ajoutez un peu d’argile en poudre. Prenez un grand mouchoir, un morceau de vieux drap ou de tissu similaire pour prendre l’argile nécessaire du bol.
Mettez toujours un cataplasme d’abord sur le ventre – L’argile verte doit être en contact direct avec la peau. Formez un second cataplasme et appliquez-le sur l’endroit à guérir. Celui-ci peut être une blessure, une tumeur, un os brisé ou simplement un endroit douloureux.
Le naturopathe français Raymond Dextreit du XXème siècle, soignait les tumeurs avec de l’argile verte. Son livre « L’argile qui guérit » présente plusieurs témoignages de personnes ayant vaincu le cancer et attribuant leur guérison à ce traitement naturel.
Si la science se désintéresse à l’argile verte, c’est aux patients de la faire avancer ! Après tout, la Genèse nous raconte que Dieu créa l’être humain avec un peu d’eau et d’argile ( le nom Adam vient du mot Adama, qui signifie la terre en hébreu.) Et cette terre semble de nature à éveiller des pouvoirs autocuratifs lorsque nous l’absorbons ou l’appliquons en cataplasme. Ce matériau biblique n’est-il pas un cadeau divin, une sorte de panacée du terrain, une ressource thérapeutique inépuisable offerte aux êtres vivants.
Certains témoignages, il est vrai, montrent que des personnes ont réussi à éradiquer leur cancer (ou d’autres maladies graves) grâce à l’argile (ou d’autres méthodes naturelles). Il est également vrai que certaines guérisons sont intervenues alors que la médecine classique condamnait ces personnes à une mort certaine.
Pour les personnes qui font de la radiothérapie pour lutter contre le cancer, nous conseillons l’application d’argile verte en cataplasme au niveau local des rayons APRÈS la séance de radiothérapie, l’argile verte limitera les risques de brûlures et effets secondaires.
Au cours de la maladie, il conviendra d’adapter l’alimentation au traitement suivi : chimiothérapie, radiothérapie, corticothérapie, hormonothérapie, antibiothérapie… À chaque situation correspond une alimentation particulière. Mais une fois le traitement terminé, il faudra revenir au régime méditerranéen que l’on complétera régulièrement par des cures de probiotiques (comme le fruit de baobab Baomix), de chlorophylle (comme la feuille de moringa) et d’argile verte afin de reconstituer la flore et la muqueuse intestinale, malmenées par les thérapies anticancéreuses.
Cordialement
L’équipe du laboratoire Biologiquement
Bonjour, auriez-vous une étude médicale sérieuse à citer concernant la vitamine B17 qui serait utile contre les cancers ? Merci d’avance pour votre retour.
Bonjour, les amandes amères d’abricot, et leur dérivés tel que la Laetrile on été interdit en France et en Europe car ils sont un substitut la chimiothérapie qui elle rapporte des milliards de dollars par ans à l’industrie pharmaceutique. J’imagine que quand vous parlez d’étude médicale sérieuse vous parlez d’étude qui n’ont pas été acheté, les résultats de ce d’études sont très difficile à trouver, surtout pour les médicaments issus de l’industrie pétrolière, car quand vous gagner des milliards d’euros par an vous ne vous embêtez pas avec des études, vous les financez et les résultats vont toujours dans votre sens.
Sur le moteur de recherche Google Scholar en tapant la requête « Laetrile for cancer » vous trouverez des études de petit laboratoire indépendant très intéressante. Je vous conseille aussi de chercher du côté de l’Allemagne ou c’est un traitement qui est donné par voie injectable dans certains hôpitaux. La plupart des résultats d’étude sont en anglais car en France les produits naturels sont diabolisés depuis déjà très longtemps, les lobby en France sont très puissant et tout le monde trouve ça normal.
Bien à vous
L’équipe du laboratoire Biologiquement
Bonjour,
J’ai souhaité imprimer vos documents, malheureusement je n’y arrive pas.
Serait-il possible pour vous de me les envoyer par mail?
Je vous en remercie par avance, recevez toute ma gratitude.
Faites très attention à vous….
Mon adresse mail: anjucalife@gmail.com
Cordialement,
Cathy Johannes
On vous l’envoi de suite!
au plaisir
L’équipe de Biologiquement
Bonjour,
J’aimerai beaucoup aussi tous vos documents par e-mail si possible ? Tellement d’informations que je souhaiterai ne jamais perdre…
Est-il bon de prendre certains miels comme le thym pour un cancer digestif avec occlusion partielle intestinale?
Un emplâtre d’argile serait-il bénéfique sur l’estomac et l’intestin?
Cordialement
Genevieve
Bonjour,
Le cancer de l’œsophage est une tumeur qui se développe dans les cellules de l’œsophage. C’est un cancer avec un taux de mortalité élevé, car le diagnostic est souvent tardif.
Bien que les causes exactes du cancer de l’œsophage ne soient pas entièrement connues, il existe certains facteurs pouvant déclencher la maladie comme le tabagisme, la consommation excessive d’alcool ainsi que de boissons chaudes ou brûlantes comme le thé ou le maté (c’est le cas surtout en Amérique du sud), des infections virales, etc.
Le cancer de l’œsophage est comme son nom l’indique une tumeur qui prend naissance au niveau des cellules de l’œsophage, précisément dans la muqueuse œsophagienne.
L’œsophage est un organe allongé en forme de tube reliant la partie supérieure du tractus digestif (bouche et gorge) à l’estomac. L’œsophage a pour fonction de conduire les aliments et liquides de la bouche vers l’estomac.
Le type le plus fréquent de cancer de l’œsophage est le carcinome épidermoïde spinocellulaire touchant en général la partie supérieure de l’œsophage. Un autre type de cancer est l’adénocarcinome affectant surtout les cellules glandulaires au niveau de la partie inférieure de cet organe, en particulier dans son tiers inférieur.
Il existe d’autres types de cancer plus rares comme le choriocarcinome, le lymphome, le sarcome ou le cancer à petites cellules.
Le cancer de l’œsophage est parfois associé à un cancer de la gorge ou à un cancer au niveau broncho-pulmonaire, c’est le cas en particulier chez des fumeurs ou alcooliques.
Dans la phase initiale, ce cancer ne présente en général pas de symptômes, ce qui rend le diagnostic précoce difficile. Avec l’avancée de la maladie et notamment la masse tumorale qui croît, des symptômes peuvent apparaître comme:
– des difficultés à avaler ou à déglutir (dysphagie). Lire aussi sous complications
– douleurs à la déglutition
– douleur rétrosternale
– douleur dans le thorax
– sensation de blocage au niveau de l’œsophage
– symptômes ressemblant à une brûlure d’estomac (acidité gastrique)
– indigestion
– fatigue
– perte de poids sans cause apparente. A cause de la difficulté d’avaler, le patient peut perdre jusqu’à 10% de son poids corporel
– toux et enrouement
Le problème est que lorsque l’œsophage est atteint, il introduit des tas de problèmes en cascade, y compris sur le plan psychologique.
Les probiotiques et les prébiotiques aident à rééquilibrer la flore intestinale, la pulpe de baobab Baomix est efficace pour prendre soin de votre flore intestinale.
La poudre de baobab Baomix est une source de vitalité qui participe à la remise en forme de l’organisme et au tonus, mais elle rééquilibre aussi la flore intestinale grâce à ces probiotiques.
La feuille de moringa bio en poudre ou en gélules peut aussi vous aider à régler cela, c’est aussi un aliment probiotique.
Manger de la viande exceptionnellement et de préférence blanche, dans des plats où celle-ci n’est pas l’ingrédient principal. Priorité aux légumineuses (attention au mode de cuisson, qui doit rester léger), avec des petites bouchées de viande. C’est aussi ainsi que l’on se nourrit encore dans les pays les plus démunis et l’on ne s’en porte pas plus mal malgré la pauvreté.
Se gaver de produits laitiers, c’est donc se gaver d’hormones de croissance inadaptées à notre organisme. Ce n’est pas un hasard si les nouveaux traitements en cancérologie passent pas des thérapies ciblées sur le tissu tumoral, des anti-angiogéniques, autrement dit des anti-facteurs de croissance.
Le gluten des produits à base de blé, de maïs, de seigle, d’orge, mais aussi de kamut ou d’épeautre favorise la porosité intestinale. Autrement dit l’intoxication générale de nos organes : les mauvaises molécules comme celles du lait, au lieu d’être évacuées par notre côlon, vont aller réveiller nos cellules à potentiel de cancérogénicité. Et détruire notre système immunitaire, d’où l’explosion des maladies auto-immunes.
Pour combattre efficacement et naturellement ce cancer c’est pour guérir le plus rapidement possible nous vous conseillons de consommer quotidiennement de la poudre de fruit de baobab bio Baomix, de la feuille de Moringa bio, de la poudre de feuilles de Graviola corossol (prenez-la en gélules si le goût vous dérange), et enfin des gélules de pissenlit et des amandes amères d’abricot bio sauvage.
Le gel contenu dans les gélules de plante d’aloe vera contient de la vitamine B, des mucilages et des acides aminés essentiels qui aident à réduire l’irritation de l’œsophage et du tube digestif.
Sa consommation contrôle la production excessive de jus acides et protège la muqueuse gastrique contre les irritations qui peuvent produire des ulcères.
Enfin, des chercheurs du Centre de recherche sur le cancer de l’Université de Cork, ont traité des cellules oesophagiennes cancéreuses avec un composé chimique provenant du curcuma : la curcumine. Celle-ci ont alors commencé à détruire les cellules cancéreuses après 24h d’exposition. La curcumine attaque les cellules par un système de signaux cellulaires alternatif, tout comme la feuille de graviola corossol.
Vous pouvez prendre tous ces produits en petite quantité mais régulièrement.
Tous ces produits sont tout à fait compatibles et peuvent être consommé en même temps, ils très complémentaires et vous aideront à guérir rapidement.
Au plaisir de vous servir
L’équipe du laboratoire biologiquement.com
Bonjour,
J’ai souvent des glaires dans la gorge (depuis plusieurs années maintenant) qui m’oblige à cracher plusieurs fois dans la journée, j’ai donc tendance à racler ma gorge… au reveil les crachats sont colorés d’aspect jaunâtre et dans la journée blanc neutre translucide,
Avez-vous des remèdes à me proposer?
Cordialement.
Bonjour,
Le mucus forme une couche protectrice sur la bouche, le nez, les sinus, la gorge, les poumons, l’estomac et les intestins. Il les empêche ainsi de se déshydrater.
Le mucus forme aussi une barrière de protection contre les intrus. Il empêche les bactéries et les virus de pénétrer à l’intérieur de votre corps. Le mucus comporte aussi des anticorps qui aident votre organisme à reconnaître les intrus et à les tuer. Il y a donc toujours du mucus dans votre corps… et heureusement !
Mais parfois, la composition du mucus change : il devient plus épais, plus solide. Lorsque c’est le cas, sa présence dans votre corps ne passe pas inaperçue (alors que normalement, vous ne la ressentez pas). Cela peut être le cas suite à une réaction allergique (ex. rhume des foins), après avoir mangé ou bu des produits laitiers (si vous êtes intolérant au lactose) ou lorsque vous êtes enrhumé.
Le curcuma bio en gélules du laboratoire Biologiquement est un décongestionnant naturel. Grâce à ses propriétés anti-inflammatoires, il stoppe l’accumulation du mucus dans les cavités nasales et décongestionne les voies respiratoires.
Avalez 2 gélules de curcuma bio avec un verre d’eau chaque matin et avant de dormir. Vous vous sentirez mieux au bout de quelques jours.
Grâce à sa nature antiseptique, le curcuma réduit les mucosités en chassant les bactéries responsables de l’excès de mucus.
Le curcuma est un véritable super-aliment. Il purifie, soulage la douleur, réduit l’inflammation et augmente la résistance. Exactement ce dont vous avez besoin !
De plus, le lavage du nez est recommandé dans les soins et la prévention des affections des voies respiratoires supérieures : nez bouché, rhumes et rhinites, sinusites et allergies, polypes nasaux.
Méthode
Remplir le LOTA d`eau tiède et ajouter une cuillerée à café de fleur de sel de Guérande. Remuer afin de dissoudre le sel en totalité.
Introduire l`embout anatomique du LOTA dans une narine, la tête inclinée sur le côté opposé, et le corps légèrement penché en avant.
L’eau s’écoule naturellement par l’autre narine, sans passer par la gorge, procurant une agréable sensation de fraîcheur.
Se moucher et recommencer le lavage par la narine opposée.
Pour terminer, se moucher doucement afin d’expulser le peu d`eau demeurant dans les narines.
Les produits du moringa vont vous aider.
Les avantages des extraits de plantes de Moringa comprennent le soulagement de l’asthme bronchique et de l’inflammation causée dans les voies respiratoires.
Des chercheurs ont mené des études sur les graines de moringa sur différents modèles expérimentaux de l’asthme. Les résultats montrent que le moringa est à l’origine de bienfaits antiasthmatiques significatifs :
Effet bronchodilatateur : La graine de moringa aide à dilater les bronches et bronchioles, et ainsi à maintenir un flux d’air normal jusqu’aux poumons et réduire la résistance dans les voies respiratoires.
Effet stabilisateur des mastocytes : La graine de moringa bloque la libération d’histamine (composé allergène) produit par les mastocytes, et contribue ainsi à contrôler les troubles allergiques.
Effet anti-inflammatoire : Le moringa possède une activité anti-inflammatoire similaire à celle des médicaments « anti-inflammatoires non stéroïdiens » (AINS), mais contrairement à ces derniers, ils sont sûrs et peuvent être utilisés sans potentiels effets négatifs.
Effet anti-microbien : Il a été démontré que les graines de moringa présentent une activité antimicrobienne quand elles sont testées contre différents agents pathogènes des voies respiratoires. C’est pourquoi il protège des différents microbes qui causent des infections broncho-pulmonaires pouvant empirer la gravité de l’asthme.
La science a ainsi confirmé les propriétés antiasthmatiques des graines de moringa. Le moringa est tout spécialement efficace dans le traitement de l’asthme bronchique grâce à sa grande concentration en bêta-sitostérols, qui exercent un effet anti-inflammatoire sur une inflammation des bronches causée par un allergène.
De plus une étude a par ailleurs démontré que les feuilles de moringa présentent des propriétés antimicrobiennes puissantes. Elles peuvent ainsi être utilisées pour contrôler et améliorer des complications respiratoires telles que l’asthme.
Vous trouverez les graines de moringa et sa feuille en gélules sur la boutique du laboratoire Biologiquement.
Aussi le lapacho serait très intéressant pour votre traitement, c’est un arbre à racine pénétrante qui parvient à puiser des concentrations exceptionnelles de sels minéraux et d’oligo-éléments puisés dans les profondeurs de la terre. Son écorce est riche en calcium, fer, magnésium, phosphore, zinc, chrome, silicium, manganèse, cuivre, potassium, sodium, cobalt, bore, argent, or, strontium, barium, nickel… Éléments souvent en carence dans l’alimentation moderne et pourtant nécessaires au fonctionnement et au renforcement du système immunitaire, au bon drainage hépatique et à la vitalité quotidienne. De plus, écorce contient non seulement des tanins, mais également des flavonoïdes, reconnus pour leurs pouvoirs neutralisants des oxydes dans le sang. Enfin, les gélules de lapacho renferme des coumarines (fluidifiants sanguins) efficaces comme régénérateurs sanguins, revitalisants, hypotenseurs, et contre les céphalées et les faiblesses cardiaques. Il est de plus dépourvu de caféine.
Enfin il est important de consommer régulièrement des pré-biotique et pro-biotique pour maintenir son système immunitaire en forme , améliorer sa santé générale et aider à prévenir les maladies, nous vous conseillons donc de consommer régulièrement de la poudre de fruit de baobab Baomix.
Le fruit du baobab Baomix est reconnu pour sa teneur extrêmement élevée en Vitamine C ce qui en fait un allié important pour votre santé. Il contient d’ailleurs 6 fois plus de Vitamine C qu’une orange et possède un niveau élevé d’antioxydants.
La Vitamine C libère de l’énergie de façon continue et permet de ressentir cette énergie sur une plus longue période de temps. Grâce également à son niveau élevé en antioxydants, le baobab Baomix contribue à renforcer le système immunitaire.
En espérant répondre à vos attente
L’équipe du laboratoire Biologiquement
Bonjour, nouveau sur le site je viens chercher des informations afin de venir en « aide » à mon grand père à qui nous avons découvert un cancer de l’estomac ainsi que du pancréas..( résultat obtenu il y’a 1 semaine avec à la clé des métastases.
Maintenant le protocole retenu par les médecins est la chimiothérapie… étant impuissant à la situation et pas prochimio je souhaiterais me renseigner sur le type de produits /plantes naturelles qui serai adapté à cette situation.
Mon grand père a 85 ans , pour le moment il n’as pas faim , mange très peu et à perdu du poids, alors qu’il à toujours été bon mangeur.. Le début de cette chimio à domicile est prévu dans 15 jours.
Le stade de cette maladie est relativement avancé selon les médecins .
Un grand merci pour votre temps
Bonsoir,
Je trouve vos articles super intéressantes. La j’aimerais savoir ce que vous conseiller en cas de cancer de sein pour une personne qui ne veut pas faire de chimiothérapie car cette dernière à trop d’éffets secondaires négatifs ?
Je serais très ravi de recevoir vos conseils et suggestions.
Merci.
Bonjour, voici le lien faire un commentaire qui réponds parfaitement à votre question.
https://www.baomix.shop/racine-pissenlit-bio/#comment-756464
Au plaisir de vous servir
L’équipe du laboratoire biologiquement.com
Bonjour,
Tout d’abord merci infiniment pour les précieux conseils prodigués sur ce blog et pour la qualité de vos produits.
J ‘ai quelques petits ganglions ou kystes sur la partie externe des seins mais qui n’ont jamais alerté les radiologues et je refuse depuis quelques années de faire la mammographie (si controversée) car je crains que devoir suivre inutilement des soins qui vont au contraire me fragiliser.
Mais voilà depuis quelques semaines je sens un petit ganglion ou kyste sous l’aisselle gauche
(je le sens parfois tiraiiler), il doit faire environ 1 cm, cela m’inquiete un peu mais je n’ose consulter car je crains les suites et je préferais traiter cela naturellement.
Tout d’abord etant assez fine je me demande s’il est normal de ce fait de sentir quelques ganglions et d’autre part quelle peut etre l’origine de ce ganglion car je n’ai pas de blessure au bras..cela pourrait il etre causé par un encombrement de la gorge?
Quels serait vos conseils pour le « désengorger? j’applique de tant a autre des cataplasmes d’huile de ricin mais pas pratique de le maintenir, l’argile pourrait elle etre aussi une aide en cataplasme?
j’ai pris aussi de l’armoise en gélule acheté sur votre site mais pas de manière réguliere.
Merci d’avance de vos précieux conseils et bonne journée !
Bonjour,
Bénignes dans le plus grand nombre de cas, les mastoses (kystes au sein) ne “cancérisent” pas. Une femme souffrant de mastoses n’a pas plus de risque de “cancériser” qu’une autre. Mais l’inquiétude que suscite la mastose, ainsi que, parfois, la difficulté d’interprétation mammographique, constituent un facteur de stress qu’il est bon de réguler.
Les causes des mastoses
1 – Le déséquilibre endocrinien est connu. Il a pour conséquence en thérapeutique l’utilisation de la progestérone, le plus souvent en gel local. Il arrive que ce traitement soit réellement efficace, mais dans un nombre limité de cas.
2 – Le facteur psychosomatique. Il ne peut être passé sous silence car si souvent rencontré. Les femmes souffrant de mastose sont douées d’une hypersensibilité (pourquoi ne pas parler de dons) qui, s’exerçant dans le domaine affectif, transforme ce don en source d’inquiétude, d’angoisse, pour elle-même ou leur entourage.
3 – Les causes nutritionnelles : il semblerait que des causes nutritionnelles puissent entrer en ligne de compte, comme en témoigne la bonne efficacité de l’huile d’onagre (acide gras poly-insaturés).
Par ailleurs, les produits laitiers paraissent avoir une incidence majeure (Cf. le livre du Docteur Nogier : “Ce lait qui menace les femmes”). Je pense pour ma part, que la toxicité du lait est en partie due aux résidus de produits chimiques, notamment ceux-ci sont présents dans les sols (agriculture intensive). Ces produits phytosanitaires passent dans les fourrages, donc dans le lait des vaches. De ce fait, il est raisonnable de supprimer, si possible, le lait dans l’alimentation ainsi que ses dérivés.
Traitement naturels des mastoses
Les auto massages du sein : Pratiqués par la femme elle-même (un soir sur deux, sauf pendant la semaine des règles), les auto-massages permettent souvent une amélioration des placards mastosiques, une stabilisation des kystes et des fibroadénomes.
Le massage de la poitrine s’effectue de la périphérie du sein vers le mamelon (comme si l’on voulait faire sortir le lait). On aborde ainsi les canaux galactophores (petits canaux permettant l’écoulement du lait) dans le sens de leur longueur. Le mamelon ne doit pas être oublié lors du massage. Plaque réflexe important, sa stimulation induit, par l’intermédiaire de l’hypophyse, la sécrétion d’une hormone, l’ocytocine, qui permet elle-même le travail des cellules contractiles du sein.
L’auteur de l’ouvrage Dressed to Kill, médecin anthropologue et chercheur américain, désigne le soutien-gorge comme un facteur décisif dans la formation de fibroses, kystes et cancers. Son argumentation repose sur le postulat que les bretelles et surtout la ceinture thoracique des soutiens-gorge exercent une contrition qui entrave la circulation lymphatique et conduirait à son engorgement, et à terme, son empoisonnement.
La plupart des gens ignorent jusqu’à l’existence de la lymphe. La circulation lymphatique est pourtant aussi importante que la circulation sanguine, dans la mesure où elle joue le rôle d’égout de celle-ci. Je vous laisse deviner ce qui se passe quand on obstrue un égout… C’est pourtant ce que ferait le soutien-gorge au niveau de sa ceinture – de la base de la poitrine jusqu’aux aisselles. La pression exercée par la bretelle à la naissance des trapèzes sur l’épaule pourrait également causer des troubles posturaux et neurologiques.
L’étude de Sydney Singer et de son épouse Soma Grismaijer a porté sur 4 730 femmes dont 2 056 étaient en traitement pour un carcinome du sein. Elle suggère que celles qui portent leur soutien-gorge 12 heures par jour voient leur risque de développer un cancer du sein augmenter considérablement, alors qu’à l’inverse, les femmes qui n’en portent pas ou de façon sporadique sont très peu exposées. Par ailleurs, 18% des femmes touchées portaient un soutien-gorge la nuit, contre 3% parmi celles qui s’abstiennent.
Le soutien-gorge peut être assimilé à un garrot, surtout quand il est inadapté et mal réglé par rapport à la morphologie de sa propriétaire, et c’est souvent le cas ! On peut observer facilement, surtout en été, la manière dont le soutien-gorge est porté : trop souvent les bretelles s’enfoncent dans les muscles trapèzes, tandis que la ceinture thoracique étrangle littéralement le buste. Cette inadaptation est généralement révélée par l’attache dans le dos qui remonte, tiraillée par des bretelles trop serrées.
Tout cela entrave la circulation des fluides dans les tissus concernés, et souvent au-delà. Les capillaires lymphatiques et sanguins, mais aussi les ganglions, sont compressés, les tissus sont sous-oxygénés et les déchets métaboliques ne peuvent plus être évacués. Les conditions d’hypoxie tissulaire et d’acidose métabolique sont dès lors réunies pour la formation d’œdèmes, de kystes, fibrokystes et autres tumeurs.
Les produits naturels conseillés pour prévenir d’éventuel complication sont le Yam sauvage en gélules, la maca en gélules ou en poudre, le desmodium et la feuille de moringa qui vont drainer le pancréas, le foie, la glande thyroïde et les glandes surrénales. Cette association a pour but de régénérer, de stimuler toutes les glandes et d’apporter un équilibre hormonal.
Cette association a aussi pour but d’aider en cas de troubles liés à des modifications hormonales. Le Yam sauvage par son action fondamentale sur le mécanisme féminin va soulager la femme ménopausée. Il stimule les ovaires tant sur le plan de la sécrétion en œstrogènes qu’en progestérone. Il convient à une personne pour l’aider dans certains troubles de la ménopause : troubles vaginaux et cutanés, perturbation de l’humeur et bouffées de chaleur.
De plus, la poudre de fruit de baobab par son action va faciliter la reminéralisation de l’organisme.
Le fruit du baobab est très riche en fibres, ce qui en fait un très bon allié pour notre système immunitaire. En effet, la haute teneur en fibres de la pulpe représente des bienfaits prébiotiques et probiotiques. Elle contribue ainsi à stimuler l’activité de la flore bactérienne et à améliorer notre santé.
Les prébiotiques sont des substances qui bonifient l’environnement interne de l’intestin. Ce faisant, ils aident à nourrir et à conserver les bonnes bactéries déjà présentes dans l’organisme, et permettent aux probiotiques d’agir dans des conditions optimales.
Les pro et prébiotiques sont des micro-organismes vivants qui ont un effet bénéfique sur l’individu en stimulant la croissance et l’activité d’une bonne flore microbienne afin d’améliorer son équilibre intestinal et stimuler le système immunitaire.
La santé digestive est un sujet de préoccupation pour de nombreuses personnes, en particulier chez les personnes âgées chez qui l’appétit peut diminuer . Probiotiques et prébiotiques peuvent puissamment booster le système immunitaire et ainsi préparer les consommateurs à affronter de nombreux problèmes de santé et les aider à se sentir mieux .
Il est important de consommer régulièrement des prébiotiques et des pro-biotiques pour maintenir son système immunitaire en forme , améliorer sa santé générale et aider à prévenir les maladies.
Grâce à des méthodes très avancées de cristallographie aux rayons X, une équipe sino-américaine montre que l’ingrédient actif du curcuma, la curcumine, bloque spécifiquement l’activité d’une enzyme essentielle à la croissance des tumeurs.
En termes de prévention du cancer, l’action positive de la curcumine sur des cancers très avancés, qui ne répondent plus à la chimiothérapie dans plusieurs cas, suggère fortement que cette action sera encore plus efficace contre des tumeurs à leur début et qui sont par le fait même beaucoup plus sensibles à la présence d’agents anticancéreux. C’est pour cette raison que la consommation régulière de curcuma peut prévenir le cancer : grâce à son action anti-inflammatoire et ses multiples propriétés anticancéreuses, la curcumine crée un environnement inhospitalier pour les micro tumeurs qui se développent spontanément au cours de nos vies, les privant des ressources nécessaires à leur progression en cancer mature.
Bien à vous
L’équipe du laboratoire biologiquement.com
Bonjour je viens de me faire opéré d’une tumeur du sein cancer hormonodependant sans atteinte des ganglions sentinelles prélevés et je suis porteuse du gène BRCA2 . je prends déjà certains de vos produits depuis 1mois Artemisia en TM , feuille de Graviola, Capsaicine et amandes amères et j’ai pratiqué un jeune hydrique de 6 jours 15j avant l’opération.
A présent on me prévoit de la radiothérapie puis une hormonothérapie sur 5 ans est il possible d’avoir un protocole naturel pour éviter cela?
Quels sont les produits ou associations les plus adaptées à mon cas
Je vous remercie par avance
Bonjour,
Merci pour votre message, pour une rémission naturelle, nous vous conseillons d’associer la feuille de graviola, l’artemisia annua, la racine de pissenlit, les noyaux amères d’abricots, le desmodium (pour prévenir la destruction du foie si il y a des traitements chimiques) les gélules de curcuma et les gélules de capsaïcine.
Tous les produits du laboratoire Biologiquement sont compatibles et complémentaires, ils ont aussi été sélectionnés car ils n’ont pas d’interaction négative et travaillent en synergie avec des traitements chimiques.
Ces produits naturels renforce le métabolisme et s’attaquent aussi aux cellules tumorales résistantes à la radiothérapie ou à la chimiothérapie, ils protègent de toutes rechutes futur.
Dans le même temps il faut renforcer le système immunitaire car c’est lui qui combat le plus efficacement le cancer.
Il faut donc prendre pour le système immunitaire de la poudre de fruit de baobab Baomix et de la poudre de feuilles de moringa (elle est riche en fer pour faciliter l’action de l’artemisia annua).
Pour la guérison complète il faut du temps, la maladie a mit du temps à s’installer, il faut du temps pour qu’elle disparaisse.
La vitamine C acide ascorbique est aussi un bouclier pour les cellules cancéreuses. L’apport en vitamine C acide ascorbique par l’alimentation est connu pour être fondamental en raison de ses propriétés antioxydantes. Mais des chercheurs chiliens viennent de démontrer qu’il sert également de bouclier aux cellules tumorales dans différents types de cancer.
En générale une cure doit durer 3 mois, vous pouvez par la suite faire une pause thérapeutique d’une semaine et reprendre, si besoin, cela dépend de votre état général.
Nous vous conseillons de respecter les dosages indiqués sur les sachets (dose minimum pour la prévention, dose maximum conseillée pour la guérison).
Avec les produits naturels c’est la régularité qui importe et moins la quantité.
Il faut en plus arrêter tout ce qui donne le cancer, le sucre (tout ce qui est sucré à part le miel bio et les fruits), la viande, qui est chargée en hormones, produits chimiques ingéré par l’animal, antibiotiques… et les produits laitiers, qui sont des matières grasses, qui concentrent encore plus tous ces agents cancérigènes.
Mangez un maximum légumes de préférence crus ou cuit à la vapeur, et des fruits, moins que les légumes.
Il faut aussi vous forcer à faire des exercices tous les jours, pour activer le système lymphatique, qui n’est stimulé que par le travail des muscles, contrairement au sang qui est véhiculée par les contractions du coeur.
Le système lymphatique constitue l’une des parties les plus importantes du système immunitaire, car il protège le corps des maladies et des infections.
Bien à vous
L’équipe du laboratoire Biologiquement.com
Que conseilleriez vous pour un enfant de 22 mois qui a un neuroblastome le fait que ce soit un enfant si petit me laisse perplexe sur les quantités de plantes à donner .j’ai trop de mal à trouver des articles pour les enfants
Merci sincèrement de votre retour par mail
Peut être pourriez vous voir le traitement métabolique du Dr Laurent Schwartz, acide alpha lipoique et Garcinia cambodgia, plus autres compléments alimentaires.
L’association espoir métabolique pourrait vous renseigner…
Bonjour,
A la suite d’une compression médullaire due à des métastases le long de la colonne vertébrale, j’ai përdu l’usage de mes membres inférieurs. Que me conseillez-vous de prendre et en quelles quantités afin de supprimer cette compression ? En vous remerciant et vous félicitant pour la riche étendue de vos produits.
Bonjour, voici la liste des produits naturels les plus riches en anti-inflammatoire :
https://www.baomix.shop/anticancer/anti-inflammatoire/
Au plaisir de vous servir
L’équipe du laboratoire biologiquement
Bonjour,
Mon père à un cancer des intestins et du colon avec métastases; que me conseillez vous, j’avoue que je préfèrerais éviter la chimiotherapie. Il a deja perdu 10 Kg en 1 mois et a du mal à manger. Merci pour vos conseils
Bonjour Yves,
Le cancer du côlon est favorisé par la consommation de viande. La viande n’est en effet pas totalement absorbée dans l’intestin grêle (première partie des intestins, après l’estomac), elle passe dans le côlon où elle va fermenter sous l’effet des bactéries de la flore intestinale. Cette fermentation produit des dérivés toxiques qui attaquent la muqueuse de l’intestin. Si vous souffrez du cancer du côlon, voici un produit pour vous aider, c’est la poudre de pulpe de fruit de baobab bio, excellent pour les maladies inflammatoires chroniques de l’intestin, vous pouvez aussi l’associer au graviola et aux autres produits naturels.
Il faut aussi prévenir l’apparition d’une pancolite, une inflammation généralisée du côlon très commune en France, qui entraîne très souvent l’apparition de foyer cancéreux.
Boire régulièrement du thé vert est associé à une réduction du risque de 14% de tous types de cancer du système digestif, comme le cancer du côlon ou le cancer de l’estomac, conclut à nouveau cette étude menée à la Vanderbilt University (Nashville), sur 70.000 femmes chinoises. Ces résultats, publiés dans l’édition d’octobre de l’American Journal of Clinical Nutrition confirment ceux d’une étude récente, publiée dans la revue Nanomedicine, qui montrait que l’épigallocatéchine gallate (EGCG), le principal antioxydant du thé vert bio, peut être une arme naturelle pour le traitement des cancers.
Vous devez consommer de la feuille de graviola corossol et du baobab pour renforcer votre système immunitaire. Baomix est très riche en probiotiques naturels, il va rééquilibrer et renforcer votre flore intestinale (un des organes les plus importants du corps).
Nous avons eu beaucoup de retours très positifs de clients qui ont associé ces deux produits et qui se sont débarrassés de cette maladie.
Au plaisir de vous servir
L’équipe du laboratoire Biologiquement
Bonjour ,
Ma maman a cancer du sein. Il a été métastasé. En janvier elle a été opérée. Elle a subie mastectomie. Après durant environ 6 mois elle a eu la chimio thérapie? et 3 semaines de radio. Que pouvez vous me conseiller ? Merci d’avance pour votre retour
Bonjour Aliaksandra, Merci pour votre question, nous ne faisons pas de racines de pissenlit en vrac et d’écorce de lapacho, car la préparation de la décoction est très lourde.
Vous pouvez utiliser la feuille de corossol Graviola pour compléter complètement votre traitement contre le cancer, cela n’affectera pas l’état de votre foie.
Si vous avez déjà reçu une chimiothérapie, il est tout de même recommandé de prendre de l’arnica pour régénérer votre foie, car votre foie doit synthétiser et éliminer tous ces produits chimiques.
Si vous voulez vous débarrasser une fois pour toutes de ce cancer, il est important de ne pas continuer la chimiothérapie en premier lieu.Malheureusement, la récidive fait partie du plan de traitement.
Vous pouvez utiliser des amandes amères riches en vitamine B-17 pour éviter les récidives.
Le cancer du sein ou la récidive est généralement dû à des pratiques quotidiennes qui ne sont pas adaptées à la physiologie du sein. Dans un premier temps, nous vous recommandons d’arrêter d’utiliser des déodorants chimiques et d’utiliser des produits naturels comme l’alunite.
Tous les produits chimiques exposés à la peau près du sein seront concentrés dans le sein.
Ces produits chimiques seront concentrés dans les tissus adipeux du corps, tels que les seins.Une fois congestionnés, le corps sera obligé de les séparer en morceaux, qui se transforment généralement en cancer.
Enfin, nous vous déconseillons d’utiliser des soutiens-gorge avec baleines, qui couperont la circulation lymphatique indispensable à la santé des seins.
Si vous voulez un beau soutien-gorge sain, vous devez utiliser autant de soutiens-gorge que possible, et lorsque vous les portez, utilisez des soutiens-gorge de sport sans baleines.
Au plaisir de vous servir
L’équipe du laboratoire Biologiquent.com
Bonjour,
J’ai apparemment une mastose au sein gauche (boules granuleuses sein enflé, dur et tendu).
Le médecin m’a prescrit une mammographie que je ne veux pas faire.
Y a t’il un moyen pour soulager ce souci !? Je mange végétal , crue et prends de l’huile d’onagre. J’ai entendu parler des cataplasmes d’argile ?
Bonjour Jessica,
Bénignes dans le plus grand nombre de cas, les mastoses (kystes au sein) ne “cancérisent” pas. Une femme souffrant de mastoses n’a pas plus de risque de “cancériser” qu’une autre. Mais l’inquiétude que suscite la mastose, ainsi que, parfois, la difficulté d’interprétation mammographique, constituent un facteur de stress qu’il est bon de réguler.
Les causes des mastoses
1 – Le déséquilibre endocrinien est connu. Il a pour conséquence en thérapeutique l’utilisation de la progestérone, le plus souvent en gel local. Il arrive que ce traitement soit réellement efficace, mais dans un nombre limité de cas.
2 – Le facteur psychosomatique. Il ne peut être passé sous silence car si souvent rencontré. Les femmes souffrant de mastose sont douées d’une hypersensibilité (pourquoi ne pas parler de dons) qui, s’exerçant dans le domaine affectif, transforme ce don en source d’inquiétude, d’angoisse, pour elle-même ou leur entourage.
3 – Les causes nutritionnelles : il semblerait que des causes nutritionnelles puissent entrer en ligne de compte, comme en témoigne la bonne efficacité de l’huile d’onagre (acide gras poly-insaturés).
Par ailleurs, les produits laitiers paraissent avoir une incidence majeure (Cf. le livre du Docteur Nogier : “Ce lait qui menace les femmes”). Je pense pour ma part, que la toxicité du lait est en partie due aux résidus de produits chimiques, notamment ceux-ci sont présents dans les sols (agriculture intensive). Ces produits phytosanitaires passent dans les fourrages, donc dans le lait des vaches. De ce fait, il est raisonnable de supprimer, si possible, le lait dans l’alimentation ainsi que ses dérivés.
Traitement naturels des mastoses
Les auto massages du sein : Pratiqués par la femme elle-même (un soir sur deux, sauf pendant la semaine des règles), les auto-massages permettent souvent une amélioration des placards mastosiques, une stabilisation des kystes et des fibroadénomes.
Le massage de la poitrine s’effectue de la périphérie du sein vers le mamelon (comme si l’on voulait faire sortir le lait). On aborde ainsi les canaux galactophores (petits canaux permettant l’écoulement du lait) dans le sens de leur longueur. Le mamelon ne doit pas être oublié lors du massage. Plaque réflexe important, sa stimulation induit, par l’intermédiaire de l’hypophyse, la sécrétion d’une hormone, l’ocytocine, qui permet elle-même le travail des cellules contractiles du sein.
L’auteur de l’ouvrage Dressed to Kill, médecin anthropologue et chercheur américain, désigne le soutien-gorge comme un facteur décisif dans la formation de fibroses, kystes et cancers. Son argumentation repose sur le postulat que les bretelles et surtout la ceinture thoracique des soutiens-gorge exercent une contrition qui entrave la circulation lymphatique et conduirait à son engorgement, et à terme, son empoisonnement.
La plupart des gens ignorent jusqu’à l’existence de la lymphe. La circulation lymphatique est pourtant aussi importante que la circulation sanguine, dans la mesure où elle joue le rôle d’égout de celle-ci. Je vous laisse deviner ce qui se passe quand on obstrue un égout… C’est pourtant ce que ferait le soutien-gorge au niveau de sa ceinture – de la base de la poitrine jusqu’aux aisselles. La pression exercée par la bretelle à la naissance des trapèzes sur l’épaule pourrait également causer des troubles posturaux et neurologiques.
L’étude de Sydney Singer et de son épouse Soma Grismaijer a porté sur 4 730 femmes dont 2 056 étaient en traitement pour un carcinome du sein. Elle suggère que celles qui portent leur soutien-gorge 12 heures par jour voient leur risque de développer un cancer du sein augmenter considérablement, alors qu’à l’inverse, les femmes qui n’en portent pas ou de façon sporadique sont très peu exposées. Par ailleurs, 18% des femmes touchées portaient un soutien-gorge la nuit, contre 3% parmi celles qui s’abstiennent.
Le cancer est un système très intelligent, il est mis en place par votre système lymphatique, votre système immunitaire, et votre système sanguin, le métabolisme va l’utiliser tant qu’il en aura besoin.
Les produits naturels conseillés pour prévenir d’éventuel complication sont le Yam sauvage en gélules, la maca en gélules ou en poudre, le desmodium et la feuille de moringa qui vont drainer le pancréas, le foie, la glande thyroïde et les glandes surrénales. Cette association a pour but de régénérer, de stimuler toutes les glandes et d’apporter un équilibre hormonal.
Cette association a aussi pour but d’aider en cas de troubles liés à des modifications hormonales. Le Yam sauvage par son action fondamentale sur le mécanisme féminin va soulager la femme ménopausée. Il stimule les ovaires tant sur le plan de la sécrétion en œstrogènes qu’en progestérone. Il convient à une personne pour l’aider dans certains troubles de la ménopause : troubles vaginaux et cutanés, perturbation de l’humeur et bouffées de chaleur.
De plus, la poudre de fruit de baobab par son action va faciliter la reminéralisation de l’organisme.
Le fruit du baobab est très riche en fibres, ce qui en fait un très bon allié pour notre système immunitaire. En effet, la haute teneur en fibres de la pulpe représente des bienfaits prébiotiques et probiotiques. Elle contribue ainsi à stimuler l’activité de la flore bactérienne et à améliorer notre santé.
Les prébiotiques sont des substances qui bonifient l’environnement interne de l’intestin. Ce faisant, ils aident à nourrir et à conserver les bonnes bactéries déjà présentes dans l’organisme, et permettent aux probiotiques d’agir dans des conditions optimales.
Les pro et prébiotiques sont des micro-organismes vivants qui ont un effet bénéfique sur l’individu en stimulant la croissance et l’activité d’une bonne flore microbienne afin d’améliorer son équilibre intestinal et stimuler le système immunitaire.
La santé digestive est un sujet de préoccupation pour de nombreuses personnes, en particulier chez les personnes âgées chez qui l’appétit peut diminuer . Probiotiques et prébiotiques peuvent puissamment booster le système immunitaire et ainsi préparer les consommateurs à affronter de nombreux problèmes de santé et les aider à se sentir mieux .
Il est important de consommer régulièrement des prébiotiques et des pro-biotiques pour maintenir son système immunitaire en forme , améliorer sa santé générale et aider à prévenir les maladies.
Grâce à des méthodes très avancées de cristallographie aux rayons X, une équipe sino-américaine montre que l’ingrédient actif du curcuma, la curcumine, bloque spécifiquement l’activité d’une enzyme essentielle à la croissance des tumeurs.
En termes de prévention du cancer, l’action positive de la curcumine sur des cancers très avancés, qui ne répondent plus à la chimiothérapie dans plusieurs cas, suggère fortement que cette action sera encore plus efficace contre des tumeurs à leur début et qui sont par le fait même beaucoup plus sensibles à la présence d’agents anticancéreux. C’est pour cette raison que la consommation régulière de curcuma peut prévenir le cancer : grâce à son action anti-inflammatoire et ses multiples propriétés anticancéreuses, la curcumine crée un environnement inhospitalier pour les micro tumeurs qui se développent spontanément au cours de nos vies, les privant des ressources nécessaires à leur progression en cancer mature.
Bien à vous
L’équipe du la boratoire Biologiquement
Pouvez-vous m’indiquer quels produits je dois prendre pour traiter un cancer du au papillomavirus à la base de la langue avec un ganglion. Je viens de terminer le traitement de 6 semaines préconisé, à savoir 33seances de radiothérapie et 3 séances de chimio . 1 au début, une au milieu et la dernière à la fin. J’avais commencé un traitement en début de protocole mais j’ai abandonné lorsque je n’ai plus été en mesure de les consommer par la bouche. Je souhaite reprendre la cure pour 3 mois. Que me conseillez vous ?
Merci d’avance
Aline Aust
Bonjour, dans un premier temps il faut vous désintoxiquer de la charge de produits chimiques que vous avez reçu dans le corps, ci-dessous vous trouverez une liste de produits naturels qui peuvent vous aider à détoxifier votre métabolisme des métaux lourds ou de toute la surcharge chimique que notre corps accumule au quotidien.
Le Lapacho est une plante utilisée en phytothérapie qui permet d’éliminer les toxines, de stimuler le système immunitaire et de soulager l’asthme. Cette plante contient du potassium, du calcium, du fer, du baryum, du strontium et de l’iode, mais ne contient pas de caféine. Elle contient également un puissant antibiotique appelé lapachon.
Lorsque les organes sont surchargés, il est important de se détoxifier, c’est-à-dire d’éliminer les toxines lorsque leur quantité est supérieure à la capacité d’élimination de notre corps. Pour cela, le Lapacho et le Desmodium sont d’excellents choix.
Le nettoyage de notre corps est une règle de base de l’hygiène de vie, chère aux naturothérapeutes. Il est indispensable en cas de problèmes physiques et une cure de désintoxication est conseillée régulièrement à tous les changements de saison, en particulier à l’automne et au printemps.
Il existe 5 organes-filtres appelés émonctoires, qui se répartissent l’élimination de nos déchets et toxines en fonction de leur composition. Il s’agit du foie, des intestins, des reins, des poumons et de la peau.
Les graines de papaye biologique sont largement utilisées pour guérir les dommages causés aux reins pendant le processus de filtration. En mâchant les graines ou en les prenant en gélules, les composés médicinaux importants contenus dans les graines atteignent directement la circulation sanguine, ce qui augmente l’efficacité du traitement jusqu’à 50 fois. Les graines de papaye aident à éliminer facilement les toxines produites dans tout le corps lors du métabolisme, en les excrétant par l’urine. La carpaine, un alcaloïde présent dans les graines de papaye, détoxifie les toxines en produisant un chélate qui est facilement excrété.
Le thé vert est également un excellent agent de détoxification naturelle. Les molécules présentes dans le thé vert agissent comme des pièges contre les radicaux libres, ce qui diminue le stress oxydatif, principal responsable du vieillissement cellulaire. Les composés chimiques amers et les polyphénols contenus dans le thé vert ont également un effet positif sur le foie. Le thé vert et la poudre de thé vert Matcha sont particulièrement efficaces pour détoxifier le foie. En Chine, il est de coutume pour chaque famille d’avoir une bonne réserve de thé amer à disposition, car il est reconnu pour ses propriétés de détoxification.
Le Café Vert est un excellent moyen d’éliminer les toxines, les acides, les pesticides, les métaux lourds et les polluants qui perturbent le bon fonctionnement des organes. Les gélules de Café Vert renforcent efficacement l’action des organes digestifs et éliminatoires, qui sont importants pour la détoxification. Elles améliorent ainsi le fonctionnement des reins, des intestins, du foie, de la vessie et de l’estomac, ce qui permet d’augmenter l’élimination des principaux produits toxiques.
Pour favoriser la synthèse du collagène et la santé des vaisseaux sanguins, il est également recommandé de consommer de la poudre de fruit de baobab Baomix au quotidien. Le fruit du baobab contribue à une circulation sanguine normale en aidant à maintenir l’élasticité des vaisseaux sanguins, ce qui contribue également à détoxifier le corps. Les probiotiques de la poudre de fruit de baobab sont essentiels pour restaurer la flore intestinale et l’équilibre du système immunitaire, en particulier si un enfant a connu une réaction indésirable à un vaccin, comme l’eczéma, les infections de l’oreille, l’arthrite, le diabète, les maladies gastro-intestinales, etc.
Le pissenlit est une plante médicinale très utile pour nettoyer l’organisme en éliminant les toxines accumulées par une mauvaise alimentation, de mauvaises habitudes ou le manque d’exercice. Cette plante convient particulièrement bien aux personnes souffrant d’hypertension, de goutte ou de problèmes cutanés, car elle contient des vitamines A, B et C, des acides foliques (ou B9), du fer et des tanins.
Enfin, le Desmodium est une plante sauvage et vivace originaire d’Afrique de l’Ouest. On la trouve également en Amérique latine, dans le Pacifique et dans les zones équatoriales humides. Cette plante grimpante s’enroule autour des troncs des cacaoyers ou des palmiers à huile.
Les docteurs Pierre et Anne-Marie Tubéry ont introduit le Desmodium en France dans les années 1970. Les chercheurs ont découvert que cette plante possède des vertus intéressantes pour la protection et le bon drainage du foie, même pour ceux qui ne souffrent pas de maladies hépatiques. Le ralentissement du fonctionnement du foie peut causer une fatigue inhabituelle, une diminution de l’appétit ou un inconfort digestif, mais le Desmodium peut aider à stimuler les fonctions de drainage hépatique pour une détoxification efficace de l’organisme.
La feuille de moringa est également idéale pour détoxifier les cellules de l’organisme grâce à ses micronutriments, antioxydants, concentration en chlorophylle et en acides aminés tels que la méthionine, qui est essentielle à la composition des protéines et ne peut être obtenue que par l’alimentation. La chlorophylle favorise la détoxification des cellules de l’organisme et fait partie intégrante des cures détox, tandis que la poudre de feuille de moringa renferme également des protéines, des glucides, des bons acides gras tels que les oméga-3, des vitamines (C, E et provitamine A), de nombreux minéraux tels que le calcium, le fer et le potassium, des polyphénols et des fibres.
Les graines de Moringa ont des actions dépolluantes et sont même utilisées pour purifier l’eau dans certaines parties de l’Afrique. Elles ont la capacité de limiter l’adhérence des microparticules polluantes, de favoriser leur élimination et de lutter contre les radicaux libres. Les formules de nombreux soins antipollution ou détoxifiants contiennent ces graines sous forme de gélules en raison de leur action dépolluante et de leur capacité à éliminer les bactéries.
L’Annona muricata, également appelée corossol, graviola, sapotille ou guanabana selon les pays, est une plante de la famille des Annonaceae. Toutes les parties de l’arbre sont utilisées, notamment les feuilles, les fleurs, les racines, les graines, les fruits et l’écorce. La pulpe blanche de ses gros fruits hérissés d’excroissances est très appréciée pour son goût de litchi et est consommée sous forme de jus de fruit, de smoothie, de beignets ou de sorbet. Le fruit du corossolier est riche en vitamines, en minéraux, en acides aminés et en alcaloïdes. Il contient également des glucides, notamment du fructose, qui en font une source nutritionnelle très appréciée par les populations locales. Le fruit agit sur l’organisme de différentes façons, notamment comme diurétique, en réduisant la tension, en stabilisant le taux de sucre dans le sang, en boostant les capacités du foie et en facilitant le transit.
Hippocrate, né en 460 av. J.-C. et décédé en 377 av. J.-C., avait déjà vanté les propriétés emménagogues de l’armoise à cette époque. Cette plante est connue pour favoriser l’arrivée des règles, harmoniser le flux sanguin et faciliter leur écoulement. De plus, elle contribue à la détoxification du foie, soulageant ainsi les inconforts liés à cette période. L’armoise annuelle est particulièrement efficace pour une détoxification profonde, la décoction d’artemisia annua permettant de nettoyer le système hépatique, les intestins et les reins.
Le jeûne, quant à lui, active un mécanisme de nettoyage et de recyclage cellulaire appelé autophagie. Il permet de se débarrasser des structures cellulaires non indispensables ou en mauvais état, ainsi que des virus ou autres micro-organismes infectieux, afin de les réutiliser efficacement ou d’aider l’organisme à les éliminer. Cette pratique consiste en un arrêt total de l’alimentation, avec ou sans consommation d’eau. Il est sans doute l’une des plus anciennes approches d’autoguérison, comme le montrent les animaux dans la nature qui cessent instinctivement de manger lorsqu’ils sont malades ou blessés. Le jeûne complet permet de s’abstenir de tout aliment solide et liquide, à l’exception de l’eau, pendant une période plus ou moins longue dans le but de reposer, détoxiquer et régénérer l’organisme.
Voici les produits les plus achetés sur la boutique pour cette pathologie : la feuille de graviola, l’artemisia annua, la racine de pissenlit, les noyaux amères d’abricots, le desmodium (pour prévenir la destruction du foie si il y a des traitements chimiques), les gélules de curcuma et les gélules de capsaïcine. Tous ces produits du laboratoire Biologiquement sont compatibles et complémentaires, sélectionnés pour leur absence d’interaction négative avec les traitements chimiques et leur capacité à travailler en synergie avec eux. Le cancer étant un système très intelligent mis en place par le système lymphatique, le système immunitaire et le système sanguin, le métabolisme l’utilise tant qu’il en a besoin. Les produits de Biologiquement aident à rééquilibrer et renforcer le métabolisme pour que le corps se défasse au plus vite du cancer.
Pour soutenir le système immunitaire, il est recommandé de prendre de la poudre de fruit de baobab Baomix (2 cuillères à café par jour, 250 g par mois) et de la poudre de feuilles de moringa (riche en fer pour faciliter l’action de l’artemisia annua). La vitamine C Acide L-Ascorbique pure est également un bouclier pour les cellules cancéreuses, en raison de ses propriétés antioxydantes. Une cure de trois mois est généralement recommandée, suivie d’une pause thérapeutique d’une semaine. Cependant, la guérison complète nécessite du temps, car la maladie a pris du temps pour s’installer.
Il est également important d’arrêter tout ce qui favorise la croissance des cellules cancéreuses, tels que le sucre, la viande chargée en hormones et produits chimiques ingérés par l’animal, les antibiotiques et les produits laitiers qui sont des matières grasses concentrant ces agents cancérigènes. Au contraire, il est conseillé de manger un maximum de légumes, de préférence crus ou cuits à la vapeur, ainsi que des fruits (mais moins que les légumes et bio de préférence).
Enfin, il est recommandé de faire de l’exercice tous les jours pour activer le système lymphatique, qui est stimulé par le travail des muscles contrairement au sang qui est véhiculé par les contractions du cœur. Le système lymphatique constitue l’une des parties les plus importantes du système immunitaire, car il protège le corps des maladies et des infections.
Cordialement
L’équipe du laboratoire Biologiquement