Les Gamma GT, scientifiquement appelés Gamma-Glutamyl-Transférase sont des enzymes que l’on retrouve principalement au niveau du foie, et qui aident, entre autres, à l’intégration des peptides et des acides aminés au sein des cellules.
Le niveau de Gamma-GT à ne pas dépasser pour une femme est d’environ 35Ul/l et de 45Ul/l pour les hommes. Ces taux peuvent varier en fonction des pays, mais globalement ce sont les valeurs à ne pas dépasser. Une augmentation des taux de Gamma-GT peut être un indicateur de problème cardiaque ou encore de maladie du foie. A long terme, c’est quelque chose qui peut avoir un impact sur la qualité de vie et sur l’espérance de vie, c’est donc quelque chose à ne pas négliger. Fort heureusement, il est tout à fait possible de diminuer son taux de Gamma-GT assez facilement, en passant principalement par des nouvelles habitudes alimentaires basées sur l’ajout de fruits, de légumes et de certaines protéines dans le menu quotidien.
Les Gamma-GT sont des enzymes qui sont produites au niveau des cellules hépatiques, et un taux élevé de ces enzyme est souvent associé à une consommation excessive d’alcool. Pourquoi ? Parce que c’est le foie qui va décomposer et éliminer l’alcool de l’organisme grâce à cette enzyme.
Des taux de Gamma-GT trop élevés peuvent être le signe de différents problèmes dont les plus communs sont les suivants:
– Abus d’alcool
– Diabète
– Cholestase
– Insuffisance cardiaque
– Hépatite
– Ischémie hépatique
– Nécrose hépatique
– Tumeur du foie
– Maladie pulmonaire
– Maladie du pancréas
– Cirrhose
– Cause médicamenteuse
En cas de cholestase, les Gamma-GT augmentent généralement assez rapidement après plusieurs jours d’obstruction du canal biliaire. Il faut rapidement consulter dans ce type de cas pour éliminer l’éventuelle présence d’une tumeur.
Des confusions de diagnostic peuvent survenir en cas de Gamma-GT élevés car ceux-ci peuvent parfois être élevés chez les personnes qui consomment des boissons alcoolisées tous les jours, même en quantité modérée.
Lors du test, il faudra donc bien faire attention à mentionner tous les facteurs pouvant influencer le résultat.
Gamma GT trop élevé et foie
Même si des maladies peuvent également être en cause, les causes alcooliques sont souvent à l’origine des taux élevés de Gamma-GT. Ces taux augmentent lorsque le foie peine à évacuer l’alcool, ou qu’il a été endommagé par une consommation prolongée suite à une addiction.
Dans certains cas communs, les taux de Gamma-GT élevés liés à l’alcool peuvent être réglés par un arrêt total de la consommation d’alcool, mais il faudra entre 2 à 6 mois pour que les taux redeviennent normaux et que le foie soit mois mis à l’épreuve.
Pour identifier un problème de Gamma-GT, il faut faire une analyse de sang qui va permettre de déterminer précisément les taux. Ce test est réalisé dans la majorité des cas pour détecter d’éventuelles maladies au niveau des canaux biliaires ou du foie, mais il peut également être prescrit pour identifier d’éventuels problèmes liés à une trop grande consommation d’alcool.
Trop de gamma GT, les conséquences possibles
Un taux élevé de Gamma-GT peut être à l’origine d’un risque accru de maladies cardiovasculaires telles que l’athérosclérose. Les médecins considèrent également qu’un taux élevé de Gamma-GT pouvait entrainer à long terme des problèmes au niveau de foie et de la vésicule biliaire.
Une élévation des Gamma-GT est observée dans la plupart des cas de maladies du foie. Un blocage des voies biliaires peut aussi résulter d’une augmentation des Gamma-GT dans le sang.
La constatation de l’augmentation des Gamma-GT peut par ailleurs être le résultat d’une maladie hépatobiliaire.
Enfin, des maladies osseuse peuvent également résulter d’une augmentation soudaine des taux de Gamma-GT dans le sang.
Baisser les gamma GT naturellement avec les plantes
Le Desmodium, est une plante originaire d’Afrique équatoriale qui est utilisée en complément des traitements conventionnels en cas d’hépatites pour éviter la jaunisse. Il protège et régénère les hépatocytes, normalise les gamma-GT et les transaminases et facilite l’écoulement de la bile.
Le Desmodium adscendens détrône certains médicaments de synthèse dans le traitement des hépatites virales.
Son pouvoir de protection hépatique est, en effet, exceptionnel.
Grâce à ce phytothérapique, les problèmes hépatiques, bénins ou plus graves, devraient normalement diminuer.
Le Desmodium est une légumineuse africaine de la famille des Fabacées, voisine de la luzerne.
Dans certaines ethnies, au Congo, Guinée, Nigeria, Afrique du Sud et Occidentale, et dans les îles du sud du Pacifique, on l’utilise traditionnellement depuis fort longtemps contre les troubles hépatiques les plus divers.
Au Ghana, par exemple, les guérisseurs l’employaient contre l’asthme, alors qu’au Cameroun et en Côte d’Ivoire c’était plutôt contre la jaunisse, c’est à dire, généralement, dans ces pays, contre l’hépatite B.
Aujourd’hui encore, de nombreux citadins, bien que déracinés, n’ont pas totalement oublié leurs traditions ancestrales, et se servent du Desmodium pour effacer de manière radicale les effets de la gueule de bois, ou éviter les crises de foie.
Puissant en prévention comme en traitementprévention et traitement des problèmes hépatiques avec le desmodium
Plus scientifiquement, le Desmodium est un phytothérapique largement reconnu dans le monde entier pour son action sur les ictères, les hépatites virales et toxiques, et les lésions du foie.
Il compte même parmi les médicaments hépatiques naturels les plus étudiés, puisque ce ne sont pas moins de trente travaux sur cette plante qui se trouvent répertoriés au CNRS.
Outre son large spectre d’action sur les pathologies hépatiques, c’est la puissance régénératrice de cette plante qui étonne le plus le monde scientifique.
On note en effet, dans la plupart des cas traités au Desmodium, une disparition extrêmement rapide des fatigues, maux de tête, manque d’appétit, teint jaune et autres symptômes courants dans ce type d’affections.
Dans les hépatites virales, les signes de la maladie et la convalescence – généralement très longue – étant considérablement écourtés grâce au Desmodium, le malade n’a pratiquement plus le temps de perdre du poids.
Quant aux paramètres biologiques comme les transaminases, gamma-GT ou bilirubine, ils retournent eux-mêmes à la normale jusqu’à deux fois plus vite que sans ce phytothérapique… voire plus rapidement encore lorsqu’on a la chance de pouvoir débuter le traitement dès les tout premiers signes de la maladie.
Dans les hépatites toxiques, qu’elles soient d’origine alcoolique, iatrogène ou autre, la plante africaine a prouvé une efficacité remarquable aussi bien chez le rat de laboratoire que chez l’humain.
On la prescrira notamment lorsque le patient supporte mal certains toxiques, comme les peintures ou les solvants, ou encore, bien sûr, en cas de chimiothérapie ou d’abus de médicaments de synthèse.
Plus indirectement, mais avec des résultats aussi encourageants, le Desmodium peut être employé dans le traitement de l’allergie et de l’asthme.
Enfin, bien que n’ayant pas fait l’objet d’une recherche scientifique à ce sujet, on suspecte fortement le Desmodium de pouvoir assurer une prévention hépatique pratiquement sans faille, de telle sorte que celui qui en consommerait chaque jour ne devrait craindre aucune maladie de foie.
Un antiallergique efficace
Sans doute à cause de l’usage antiasthmatique qu’en faisaient les guérisseur ghanéens, le Desmodium fit tout d’abord l’objet d’expérimentations dans le domaine de l’allergie où l’on démontra, sur des cobayes animaux, son pouvoir d’inhibition des contractions musculaires suscitées par l’histamine.
Ce n’est que plus tard, sachant que le système hépatique était fréquemment impliqué dans le processus allergique, que l’on commença à effectuer des recherches dans ce sens, et que l’on finit par démontrer l’exceptionnel pouvoir protecteur de cette plante au niveau hépatique.
La démonstration en question fut faite sur des rats auxquels on avait fait absorber du tétrachlorure de carbone, toxique induisant une hépatite.
Comme toujours, la moitié de ces pauvres bêtes seulement eut droit au traitement thérapeutique au Desmodium, et prouvèrent à la science à quel point les sorciers africains avaient raison d’employer cette plante miracle depuis des millénaires.
Des effets sur les hépatites viralescomment soigner naturellement une hépatite virale ?
Au contraire de l’hépatite toxique, les effets du Desmodium n’ont pas été démontrés sur l’hépatite virale.
Toutefois, l’expérience clinique semble bien corroborer le savoir de la tradition africaine, tout au moins dans les cas d’hépatites virales aiguës.
Ces cas aigus se manifestent souvent assez soudainement par de la fatigue, des maux de tête, un certain manque d’appétit et surtout par une augmentation du taux de transaminases.
Ce n’est généralement qu’en l’absence d’un traitement efficace, que, peu à peu, l’hépatite virale devient chronique et se complique de fibrose et de phénomènes auto-immuns, pouvant eux-mêmes évoluer vers la cirrhose ou le cancer.
Avant, donc, d’en arriver à de telles pathologies, le traitement au Desmodium est capable, en une à deux semaines, de faire disparaître la fatigue et l’ictère, et réussit à normaliser le taux de transaminases en deux à trois semaines… à condition, bien sûr, de débuter le traitement le plus vite possible.
Le Docteur Pierre Tubéry, qui est à l’origine des recherches sur de nombreuses plantes africaines, dont le Desmodium, rapporte, à ce sujet, le résultat de ses premières études :
« Dans une étude portant sur 34 cas d’hépatites, les résultats étaient les suivants.
« Dans 11 d’entre eux, le traitement avait été appliqué avant le troisième jour de l’ictère, et le retour à la normale de la couleur de la peau et des urines s’est effectué après cinq jours de traitement.
« Le temps de normalisation des transaminases n’a pas dépassé vingt jours.
« Dans 14 cas, le traitement avait été appliqué entre le troisième et le vingtième jour de l’ictère : les transaminases ont baissé des deux tiers en moins de dix jours.
« Enfin, dans les 9 cas où ce traitement avait été instauré après le vingtième jour de l’ictère, les résultats ont été variables et moins satisfaisants ».
Pour donner une idée de l’efficacité d’un tel traitement, sans doute n’est-il pas inutile de rappeler que, d’une manière générale, les arrêts de travail en cas d’hépatite virale tournent autour d’une durée de deux mois, alors qu’avec un traitement au Desmodium, il dépassent rarement… deux semaines !
Et l’hépatite chronique ?
On l’a dit, les chances de guérir d’une hépatite virale grâce au Desmodium sont proportionnelles à la rapidité de l’intervention.
Cela dit, les résultats d’un traitement à base de cette extraordinaire plante africaine sur des cas chroniques sont loin d’être nuls.
Une étude clinique menée au Mali, portant sur 47 hépatites B et 3 hépatites C, dont la plupart avaient atteint la phase chronique, montre en effet qu’au 45ème jour du traitement au Desmodium, les transaminases de 43 sujets étaient normalisées, et que l’antigène HBs avait disparu dans 22 cas d’hépatite B.
Le Docteur Pierre Tubéry, pour sa part, témoigne avoir observé dans sa clientèle une amélioration dans 70% des cas d’hépatite C chronique… et même quelques cas de disparition pure et simple du virus !